Structurer un financement non dilutif en complément d’une première levée : le cas Marble

Marble propose une solution open source, auto-hébergée ou en cloud, permettant aux fintechs et institutions financières de surveiller les transactions et l'activité des utilisateurs afin de détecter les comportements suspects en temps réel. Leur moteur de décision offre une transparence totale, une sécurité renforcée et une approche communautaire, s'intégrant parfaitement aux infrastructures technologiques existantes des entreprises.

En août 2024, Marble a levé auprès de fonds de premier plan, dont 42Cap et Passion Capital, pour accélérer le développement de sa plateforme de conformité en temps réel.

« On venait de lever des fonds et on voulait aller plus loin, de manière efficace. L’objectif était simple : ajouter une couche de financement non dilutif qui soit à la fois utile, rapide à activer et peu énergivore pour l’équipe. » C’est ainsi qu’Arnaud Schwartz, CEO de Marble, décrit la genèse de la collaboration avec Reki. 

Pourquoi le non-dilutif est essentiel pour Marble

Pour Marble, le financement non dilutif n’était pas un simple complément, mais un véritable levier stratégique. Préserver leur captable dès la première levée était une priorité, afin de garder de la flexibilité pour les prochaines étapes de croissance. Dans une phase où chaque point de dilution compte, pouvoir activer des financements alternatifs permettait de financer les développements clés sans céder de capital supplémentaire.

L’activation de financement non dilutif n’est donc pas un bonus : c’est un choix structurant pour la trajectoire de croissance de Marble. Cela leur a permis :

• D’élargir leur horizon de financement sans ouvrir le capital,
  
• D’anticiper les prochaines phases de développement,
• De renforcer leur autonomie stratégique.

Chez Marble, l’accompagnement s’est fait sans frictions et sans des aller-retours interminables. L’équipe a simplement transmis ses documents de travail — le business plan, les données et documents bruts — et Reki s’est chargé de tout structurer. Le dossier final était prêt à être présenté, clair, cohérent et adapté aux attentes des financeurs.

Un temps fort du parcours a été la préparation de l’entretien avec Bpifrance. Arnaud souligne à quel point l’approche est restée sobre et efficace : « On n’a rien forcé. Pas de storytelling gonflé. On a simplement structuré ce qu’on faisait déjà, pour répondre aux attentes des financeurs sans travestir notre projet. ». Cette transparence a permis de défendre le dossier en toute confiance.